Comme le chèvrefeuille a été planté un peu trop près du portail, ses tiges gênent vraiment le passage pour entrer dans la courette et il faut donc en couper quelques-unes. Voilà pourquoi dans la maison, sur la table de la pièce unique, trône un gros bouquet de chèvrefeuille. Il embaume et c’est ainsi qu’au réveil le parfum du chèvrefeuille est tout autant dans la maison que dehors. C’est bon. C’est une richesse.
Un autre soutien pour Aussitôt que la vie sur le blog A Sauts et Gambades. Merci pour ces mots merveilleux.
marie gillet - Page 7
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Encore du chèvrefeuille, encore un soutien.
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Je soutiens, tu soutiens, il/elle soutient, nous soutenons, vous soutenez, ils/elles soutiennent.
C’est important pour moi de signaler les gestes de soutiens reçus pour que mon livre, Aussitôt que la vie, puisse avoir plus de reconnaissance.
Merci à ceux qui envoient des mails à leurs proches pour leur en suggérer la lecture, à ceux qui me communiquent des adresses ou des liens pour envoyer une information à propos de cette publication, et d’autres qui me suggèrent des pistes pour organiser des séances de dédicaces.
Merci à ceux qui écrivent des articles sur leur blog (ou prévoient de le faire) :
- Tania, sur son blog Textes et Prétextes, fut la première.
- Durga, sur son blog Petites Graines, vient de le faire !
Et merci à ceux qui passent commandes.